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Les indications 

La thérapie ICV  s’adresse à toute personne en souffrance, présentant des problématiques diverses : relationnelles, anxieuses, d’addiction… pouvant perturber son fonctionnement au quotidien.
Elle vise également le traitement d’événements traumatiques uniques (agression, accident, attentat…) ou plus complexes : expériences adverses infantiles présentant un caractère chronique, répétitif (maltraitance, négligence, abus sexuels…) .​

Traumatisme

Un traumatisme, précoce ou récent, chronique (répété) ou unique.

 

Par exemple : un accident, un décès, une agression, une opération, de la maltraitance, de la négligence etc...

Difficultés 

Une difficulté dans la vie :personnelle, amoureuse, familiale, sociale, professionnelle...

Symptôme(s)

Un ou plusieurs symptômes perturbant le quotidien qui peuvent être mineur comme psychopathologique. 

 

Par exemple: anxiété sociale,  généralisé, trouble du comportement alimentaire, phobie, dépression, troubles de l’humeur, débordement émotionnel, etc.

Les bénéfices obtenus

Augmentation du sentiment

de sécurité intérieure

Meilleure régulation émotionnelle 

Traverser un ou plusieurs évènements de vie difficiles

Améliorer les relations interpersonnelles

Faire cesser le(s) symptôme(s) perturbateurs du quotidien

ICV et enfants / ados ?

L'ICV est une thérapie qui convient également aux les enfants et les adolescents. En effet, le processus de développement peut être perturbé par des évènements que l'on peut qualifier de traumatiques ou un environnement familial en difficulté (naissance difficile, deuil, séparation, dépression ou anxiété d’un parent...).

 

Tout comme l'adulte, l’enfant pourra dans certain cas se déconnecter de ses sensations, émotions ou besoins. L'ICV pourra alors permettre de redynamiser le processus de développement de l'enfant.

 

Plus précisément, l'ICV a la fonction de traitement des traumatismes uniques/simples advenus durant la vie de l’enfant (accident de voiture, cambriolage, hospitalisation, attentat) mais elle peut également permettre le traitement de traumatismes plus anciens liés aux premiers temps de vie qui sont enfouis dans la mémoire implicite des 1000 premiers jours de vie de l'enfant (avant 3 ans). 

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